Souvent décrite et perçue comme une pathologie sans possibilité de traitement, l’intolérance au gluten et les restrictions alimentaires qui lui sont associées gâchent la vie d’un très grand nombre de personnes.
La médecine conventionnelle dit aux personnes qui en souffre d’apprendre à « vivre avec », et s’il était possible de vivre sans ?
L’intolérance au gluten : Une pathologie sur-médiatisée mais sous- diagnostiquée
Ce titre d’un édito de la revue médecine-nutrition (1), même s’il date de 2012, résume bien encore aujourd’hui la situation actuelle.
Car même si l’article parlait de pistes prometteuses et de solutions thérapeutiques innovantes, en pratique les réponses apportées par la médecine conventionnelle n’ont pas beaucoup changées : seule l’éviction totale reste proposée comme « traitement » et le mieux à faire serait d’améliorer la compliance au régime.
Or entre les questions de gout, d’argent, de difficulté d’approvisionnement si l’on n’habite pas « en ville » et la contrainte sociale, on estime qu’à peine 50% des intolérants au gluten suivent un régime strict.
Alors que faire quand la médecine conventionnelle ne propose rien ?
Pourquoi ne pas essayer le traitement énergétique ?
Retrouver le plaisir d'une alimentation sans contraintes
Il est possible de ne plus subir ni les symptômes, ni les contraintes alimentaires, pour manger à nouveau « de tout », avec plaisir et sans arrière-pensée.
Entre pathologie (parfois lourde) et phénomène de mode, entre recherche scientifique et intérêts financiers agro-alimentaires, entre alimentation-santé et alimentation-plaisir, les informations peuvent vite devenir contradictoires et il peut être difficile de s’y retrouver.
Mon objectif n’est pas d’arbitrer le débat pro/anti gluten.
Je pense que tout le monde devrait pouvoir manger ce qui lui fait envie dans la limite d’une consommation raisonnable, sans avoir à en souffrir.
Dans ce premier article consacré à l’intolérance au gluten je voudrais faire un point sur cette maladie, ses différentes formes et symptômes et apporter un éclairage alternatif sur les causes et présenter une les perspectives offertes par le traitement énergétique.
Le gluten serait-il l’ennemi public alimentaire numéro un ?
Omniprésent dans nos assiettes, lourdement transformé génétiquement au cours des dernières décennies, corrélé à de nombreuses pathologies digestives et non-digestives, associé dans notre imaginaire à la « malbouffe », mais malgré tout associé également à des symboles de notre alimentation comme les pâtes et le pain, le gluten, s’il n’est pas forcément un ennemi est certainement un sujet de société.
Il est d’autant plus un sujet de société qu’il est « invité » régulièrement dans les médias et que les témoignages de personnalités médiatiques à sa décharge sont nombreux, y compris chez les sportifs.
La diversité des symptômes décrits et des témoignages pourraient d’ailleurs nous faire penser à tort que l’on souffre d’une intolérance au gluten.
Il convient donc, en premier lieu, de faire un point sur la terminologie et les différentes formes de sensibilité liées au gluten, au blé et aux céréales.
L’association française des intolérants au gluten (2) distingue trois pathologies liées au gluten :
- La maladie cœliaque, également appelée intolérance au gluten
- La sensibilité au gluten non cœliaque
- La dermatite herpétiforme
En plus de ces trois pathologies il faut également considérer l’allergie au blé.
L’objectif de cet article étant de traiter le sujet de l’intolérance au gluten, les autres maladies liées aux blés et les pathologies « semblables » seront évoquées dans des articles séparés.
Caractéristiques de l’intolérance au gluten
L’intolérance au gluten ou maladie cœliaque est une maladie chronique intestinale auto-immune causée par l’ingestion d’une ou plusieurs fractions protéiques du gluten contenues dans certaines céréales (blé, seigle, orge et les hybrides de ces variétés) (1).
L’intolérance au gluten serait d’origine immunitaire, avec une prédisposition génétique liée à la présence des gènes HLA-DQ2 et/ou HLA-DQ8).
Elle touche des personnes de toutes tranches d’âge, avec des symptômes de nature et d’intensité variables.
Elle est trois fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes et seuls 10 à 20% des cas réels seraient effectivement diagnostiqués.
Il ne s’agit pas d’une allergie, puisque les anticorps « marqueurs » de la maladies ne sont pas des Immunolobulines de type E dirigés contre le gluten.
La présence d’anticorps anti-transglutaminases et d’anticorps anti-endomysium associés à des lésions de la paroi interne de l’intestin grêle sont les marqueurs qui permettent de distinguer la maladie cœliaque l’intolérance non cœliaque (3).
Symptômes de la maladie coeliaque
Les symptômes de la maladies cœliaque sont nombreux et ne sont pas uniquement digestifs.
Il n’existe à priori pas de liste exhaustive et il est important de noter que la plupart de ces symptômes sont courants et peuvent être causés par d’autre maladies et qu’il est possible de ne pas avoir de symptômes visible d’intolérance au gluten.
On peut néanmoins lister les plus courants (2) (4) :
Chez l’adulte :
- Ballonnements, nausées et maux de ventre
- Diarrhée chronique et présence de graisse
dans les selles - Fatigue physique et mentale
- Migraines
- Aphtes
- Crampes musculaires
- Troubles gynécologiques
Chez l’enfant :
- Ballonnements, Diarrhée chronique
- Membres fins (fonte musculaire)
- Tristesse
- Fatigue physique et mentale
- Douleurs articulaires
- Retard de croissance et de la puberté
Ces symptômes sont souvent associés et ou corrélés à des problématiques de malabsorption des nutriments (causée par la dégradation la muqueuse intestinale).
Ainsi des carences en fer, en minéraux (notamment le calcium) et en vitamines B et D sont fréquemment observées chez les personnes atteintes de la maladie cœliaque.
Le traitement énergétique de l'intolérance au gluten
Généralités
Le traitement énergétique que je propose est une alternative aux solutions proposées par la médecine et qui ne repose pas uniquement sur l’interprétation physiologique de la maladie.
Pour gérer l’intolérance au gluten la seule solution médicale proposée à ce jour est l’éviction totale. Cette approche, bien qu’elle soit tout à fait efficace, est parfois difficile à mettre en place et à supporter sur le long terme.
C’est pourquoi le traitement énergétique peut représenter une solution intéressante pour retrouver une vie normale.
Ma méthode est essentiellement une combinaison de Shiatsu et d’homéopathie. Elle a pour but d’agir sur les blocages énergétiques pour ramener le corps à un état de réactivité normale vis-à-vis du gluten et lui permettre de réparer les dégâts causés par la maladie.
Application à la maladie cœliaque
D’un point de vue énergétique, il n’y a pas de réelle distinction entre l’allergie et l’intolérance : Dans les deux cas le corps manifeste une réponse anormalement excessive à une substance.
L’origine est toujours une information erronée que le corps a enregistré et qui le pousse à combattre une substance sans danger comme s’il s’agissait d’un agent pathogène, seules les manifestations physiologiques changent.
Ma méthode repose sur une prise en charge globale de la maladie, donc le travail commencera toujours par un « nettoyage de terrain » pour s’assurer que le corps gère correctement les éléments indispensables à son bon fonctionnement (vitamines, minéraux, protéines, …). L’étendue de se travail de terrain dépend évidement de l’ancienneté et de la gravité des symptômes mais aussi de la coexistante d’autres pathologies.
Vous trouverez plus d’informations sur la méthode ici
Une fois le nettoyage de terrain effectué, le traitement est plus spécifique et va naturellement cibler le gluten mais aussi tous les autres composants du blé et des céréales, ainsi que la gliadine, les transglutaminases et l’endomysium si nécessaire.
Selon les attentes de la personne traitée, le travail autour du blé pourra pourra s’étendre à d’autres substances et/où combinaisons de substances. En effet l’intolérance au gluten peut par exemple être plus forte si le gluten est associé à de la levure (comme dans le pain). De même, la volonté de retrouver une consommation régulière peut parfois demander plus de travail que si la consommation est occasionnelle.
De plus, s’il existe des atteintes « associées » importantes, comme des carences ou une perméabilité intestinale sévère, il peut être nécessaire de poursuivre le travail pour que le corps régénère la muqueuse intestinale et qu’il assimile correctement tous les nutriments.
En effet, au delà de l’aspect physiologique des lésions de la paroi intestinale dues à l’inflammation et les carences liées à ces lésions, si la réaction allergique dure, le corps peut enregistrer de nouvelles informations erronées autour du processus inflammatoire et devenir « allergique » à la muqueuse intestinale et aux nutriments mal assimilés.
Dans ce cas le traitement énergétique visera les composants de la paroi intestinale et il conviendra de tester et traiter tous les nutriments et aliments potentiellement mal assimilés.
Enfin, si des maladies auto-immunes telles que la maladie de Hashimoto se sont déclarées consécutivement à l’intolérance au gluten, elles pourront être traitées également.
L’approche globale du traitement traitement énergétique des allergies et intolérances apporte une réponse complète à tous les symptômes de la maladie cœliaque pour vous en débarrasser naturellement et sans traitement médicamenteux.
La méthode ne cible pas uniquement les symptômes mais également les causes profonde de la maladie pour obtenir un résultat durable.